samedi 29 juin 2013

iPhone 5 en septembre et iPad 7 pouces en août

Digitimes s'offre une nouvelle fournée de rumeur, le site taïwanais avance une date de sortie pour l'iPhone 5, un nouvel iPad 10 pouces et une version "mini".

iPhone 5 en septembre et iPad 7 pouces en août?

Le site taïwanais Digitimes surtout connu pour ses rumeurs s’offre aujourd’hui un coup du chapeau en parlant de l’iPhone 5, d’un iPad 7 et 10 pouces et annonce même des dates de sortie approximatives.

En se basant sur les dires d’une personne en relation avec les chaînes d’approvisionnements, le site annonce qu’Apple sortira l’iPhone 5 en septembre. L’usine Pegatron aurait reçu les ordres d’Apple et recentrerait sa main d’œuvre sur les commandes de la pomme.

Accessoirement, la source rapporte aussi qu’un iPad 10 pouces devrait être lancé dans le courant du quatrième trimestre, sans plus de précisions. Une rumeurs particulièrement étrange et très peu probable l'iPad actuel mesurant déjà 10 pouces, 9.7 pour être précis.

Enfin, une version 7 pouces serait aussi dans les tuyaux et pourrait arriver en août selon une source Hon Hai Precision Industry, plus connue sous le nom de Foxconn. Ce qui relance une nouvelle fois les spéculation sur l’iPad "Mini" qui viendrait en toute logique concurrencer le Kindle Fire.

En attendant, il est toujours possible de consulter notre compte rendu des rumeurs entourant l'iPhone 5.



 


vendredi 28 juin 2013

BlackBerry Messenger 7 ajoute la VoIP via Wi-Fi

Disponible immédiatement, la dernière mise à jour en version 7 de BlackBerry Messenger permet désormais aux utilisateurs de réaliser des discutions vocales via une connexion Wi-Fi.

BlackBerry Messenger 7 ajoute la VoIP via Wi-Fi

Passer d’une discussion instantanée par écrit, à la voix avec BlackBerry Messenger (BBM) est désormais possible dans la septième mouture de l’application. Disponible immédiatement, le nouveau BBM 7 ajoute en effet une fonction baptisée BlackBerry Voice. Mais voilà, cette faculté ne sera disponible qu’avec une connexion Wi-Fi et non pas directement avec la 3G. il faut dire qu’avec des ventes en berne, RIM n’a aucun intérêt à rebuter les opérateurs de téléphonie mobile en engorgeant leur réseau. Rappelons également que l’application ne fonctionnera qu’avec les correspondants disposant d’un BlackBerry dont BBM a été mis à jour.


Cette nouvelle version ajoute aussi plusieurs options supplémentaires. Ainsi, tout en discutant, un menu permet de jongler facilement et rapidement entre plusieurs applications pour envoyer une image, ou répondre à un SMS ou un mail. Enfin, 16 nouveaux smileys sont disponibles. Pour le moment, BlackBerry Messenger 7 est compatible avec les téléphones de la marque fonctionnant à partir de la version 6 du système d’exploitation. Ceci dit, RIM précise qu’il sera adapté d’ici peu pour être compatible avec BlackBerry OS 5. (EP)

 

Faut-il encore craquer pour l'iPhone

739 € nu (pour le 32 Go), 250 € au bas mot si vous souscrivez une ligne chez un opérateur et bien plus en renouvellement si vous êtes toujours engagé chez le votre… L’iPhone 4 est un produit de luxe facturé 5 400 €/kg !

L'iPhone : smartphone ultime ou machine à sous ?

Avec une concurrence qui s’est retroussé les manches (un Blackberry tactile, de nombreux modèles sous Android, des Windows Phone prometteurs…) et qui propose des modèles souvent bien plus accessibles financièrement, la question se pose : faut-il (re)craquer pour l’iPhone ?

Mon 3GS ayant rendu l’âme (à se demander si Apple n’équipe pas ses modèles pour que quelque chose pète systématiquement après 1 an d’utilisation), j’ai renouvelé le mien. Mon bel iPhone 4 m’a couté la bagatelle de 460 € malgré mon année et demi de points (à environ 100 € de facture mensuelle) ! Autant dire qu’au moment de donner ma carte bleu au vendeur de la boutique Bouygues Telecom (qui m’avait tout de même fait patienter 2 h, il faut être motivé !), un doute m’a assailli… Et pourtant, je le voulais cet iPhone, j’ai même passé 15 coups de fils avant de trouver LA boutique ou il n’était pas en rupture de stock.

L’iPhone 4 vaut-il le coup ? Oui mais… Le smartphone Apple est-il toujours LE modèle incontournable ?

Pour ma part, je suis équipé Mac et il faut reconnaître que le couple iPhone/Mac est parfait. Je peux ainsi synchroniser facilement agenda, contacts, photos en plus des applis… Le possesseur d’un PC (la majorité) sera moins à la fête, c’est sûr. Viens ensuite l’utilisation. Voilà 3 ans que je vis iPhone. Autant dire que j’en connais les moindres recoins, il est devenu le prolongement de ma main, je l’utilise sans me demander comment faire. Si je passais sur Android, au hasard, il faudrait tout réapprendre et pour en avoir testé, il faut reconnaître qu’à ce jour, aucun Smartphone tournant sous système Google ne propose une ergonomie aussi aboutie. Mais l’iPhone est aussi bien plus fermé en termes de possibilités… Sauf Jailbreaké mais c’est un autre débat.

Il faut admettre que l’iPhone est bien plus qu’un téléphone. Il me sert d’agenda, de GPS, d’iPod et d’appareil photo. Autant d’équipements que je n’ai pas renouvelé, voilà qui aide à faire passer la pilule du tarif exorbitant. Cela dit, un appareil sous Android fait tout ça…

La question est donc : l’iPhone justifie t’il son prix ?

Faites vous partie des 16,9% des clients Apple qui pensent que leurs produits sont trop chers… Tout en étant 77% a en être « très satisfaits » selon une étude toute fraiche de ChangeWaves Research ?

Si vous êtes sur Mac et que vous cherchez un produit simple et qui marche : oui. Pour tous les autres : non. Qui plus est, avec Android, vous aurez le choix du modèle. Ca complique la phase d’achat mais c’est une liberté que ne propose pas Apple. Reste le gros problème d’Android : la compatibilité. Aujourd’hui, chaque opérateur, chaque fabriquant de téléphone peut en faire ce qu’il veut. Résultat, les applis ne sont pas forcément compatibles avec tous les mobiles Android, un comble. Idem pour le flash (dans les pages web), un argument choc en faveur du système Google qui est loin de fonctionner dans la pratique ! Attendons donc de voir les vraies capacités des Windows Phone qui, on l’espère, feront plus que de singer l’iPhone.

Il faut également prendre en compte la dimension idéologique de la chose. Acheter Apple est un acte quasi politique : adhérer ou pas à la politique Apple et de son gourou aussi visionnaire que totalitaire. On aime ou on déteste, 7% des personnes interrogées considèrent ses pratiques comme anti-concurrentielles…

L’iPhone 4 est un téléphone aujourd’hui abouti (nouvel appareil photo, Facetime, autonomie enfin viable…). Même si l’on peste toujours contre certains détails (pas d’accusé de réception des SMS, multitâche bancal, Facetime limité…), la vie iPhone est facile et séduisante.

Et pourtant, l’iPhone a développé des défauts qui pourraient causer sa perte

A commencer par son problème de réception réseau. Sans même évoquer l’inacceptable conception d’antenne (défaut forcément connu et accepté par Jobs !) qui cause finalement peu de gêne, l’iPhone n’est pas un téléphone qui capte bien. Mais le plus préoccupant est sa fragilité. Les cas de bris de la glace inférieure se multiplient. Du verre, même super costaud, ça se casse. Personnellement, je préfère quelques rayures qu’un écran à changer. Mon portefeuille aussi. Pourquoi doubler le risque !? De surcroit, il est difficile et coûteux à mouler. Résultat, l’iPhone dispose aujourd'hui d’une prise en main très particulière avec son fond plat…

Ma femme utilise un Blackberry, l’effrontée (je lui pardonne, c’est son téléphone pro). Vous n’imaginez pas la vie qu’elle lui mène : oublié en plein cagnard derrière la vitre de la voiture, plus souvent en train de tomber par terre que bien au chaud dans son sac, quant il s’y trouve, c’est avec ses copains clés et autres pince à épiler et il est régulièrement utilisé les mains pleines d’huile d’olive… Résultat : son Black est indestructible et moi, je passe pour un maniaque à tout le temps faire attention à mon iPhone… Mauvaise pub !

Apple conserve une belle côte d’amour, on ne parle (presque) que de lui, les médias américains lui octroient même 15% des articles traitant des nouvelles technos. La firme de Cupertino a pu se permettre de vendre hors de prix un produit sans concurrence. Ce qui se passe aujourd'hui (de bien) dans le monde de la téléphonie, c’est grâce à lui. Mais le roi iPhone, imparfait, trouve sur sa route des concurrents de taille. Pas sûr que la seule passion (26,8% des personnes interrogées sont fans de la marque) lui permette de truster indéfiniment le marché. Pour ma part, j’ai beau vénérer mon MagicPhone, si Apple ne rectifie pas les défauts de son iPhone et continue à nous prendre pour Crésus, mon prochain mobile ne sera pas pommé…

 

Les chiffres cités sont issus d’une récente étude du Pew Research Center.

jeudi 27 juin 2013

UnGlue quand les internautes financent la gratuité des ebooks

L'époque est propice à l'arrivée de nouveaux modèles économiques autour de l'ebook. Le site Unglue arrive avec une approche originale : demander aux internautes de financer la gratuité future d'un ebook...

Unglue est un site de l’entreprise Gluejar, fondée par Eric Hellman, et qui propose un modèle économique innovant pour les ebooks. Le site a ouvert il y a une semaine en version Alpha, après une année de préparation.

Comment ça marche ?

Les internautes sélectionnent des ebooks qu’ils aimeraient rendre disponibles gratuitement. Les auteurs peuvent aussi proposer leurs ouvrages.

L’auteur peut alors fixer une somme d’argent pour laquelle il accepte de “libérer” son ouvrage, et le rendre accessible gratuitement à tous sous licence créative commons. Il ne reste plus aux internautes participants qu’à faire une donation pour en financer la future gratuité. Une fois la somme atteinte, l’ouvrage est rendu disponible.

C’est un concept gagnant-gagnant dans lequel tout le monde s’y retrouve.

Un concept pas si nouveau : le crowdfunding

Le Crowdfunding consiste à faire financer le développement d’un projet par de nombreuses personnes qui investissent de plus ou moins grosses sommes pour le faire aboutir.

Mymajorcompany en est un des exemples les plus connus, et s’intéresse d’ailleurs aux livres avec MymajorcompanyBD et MymajorcompanyBooks. Et si ce modèle ne remplace pas les modèles habituels, il se positionne en alternative intéressante.

Ce que propose Unglue, c’est de faire la même chose avec les ebooks, mais avec quelques différences.

Pour l’internaute, il est possible de sélectionner un ouvrage déjà présent dans une liste, et même de faire une liste des ouvrages qui ne font pas partie de la liste actuelle, mais qu’il aimerait voir disponibles. Il faudra dans ce cas que l’auteur désire proposer son ouvrage dans ce système.

Une fois un prix fixé, il est possible pour les internautes qui le désirent de financer le changement de licence. Tant que la somme totale n’est pas atteinte, les donations ne sont pas débitées. Une fois le prix fixé atteint, les sommes sont débitées, les ayants-droit sont payés, ainsi qu'Unglue qui prend sa commission, puis les ouvrages sont disponibles au format ePub et PDF, pour ceux que j’ai pu voir.

Avantages et limites du système

Le concept est intéressant pour les auteurs ou ayants-droit puisqu’ils ne prennent aucun risque. Unglue travaille avec eux pour fixer un prix qui permet une rémunération correcte, et met en place une licence Creative Commons BY-NC-ND pour l’ouvrage, qui prendra le relais une fois que le seuil fixé aura été atteint.

Pour l’instant, on trouve surtout des ouvrages libres de droit ou d’autres qui semblent avoir été proposés gratuitement par leurs auteurs, mais le service est très récent.

Tant que le seuil fixé pour mettre leur ouvrage à disposition n’est pas atteint, le livre n’est pas mis à disposition.

L’autre avantage est que cela n’empêche pas un auteur de proposer ses versions papier aux conditions habituelles. Dans ce cas, seul l’ebook est concerné, et peut même permettre d’augmenter les recettes de livres papier en donnant de la visibilité à l’auteur.

Enfin, les auteurs d'oeuvres qui ne sont plus éditées, ceux qui travaillent en auto-édition, ou ceux dont les ouvrages ont été refusés par les maisons d'édition pourraient voir dans cette solution une opportunité de nouveaux revenus ou de revenus fixes.

Et pour l'internaute, l'accès à certains ebooks gratuitement, sans DRM et sans restrictions, est bien sûr attrayant.

Quelques obstacles sur le chemin...

Pour que le projet soit un succès, il faudra non seulement convaincre les auteurs, mais aussi les maisons d’édition du bien fondé de l’approche, et de l'intérêt d'une rémunération unique et fixe. Il n'est pas certain que cela séduise ces dernières pour le moment.

Il faudra observer s’il n’y a pas un risque de dilution des donations au cas où trop d’ouvrages seraient proposés. Il n’y aura peut-être pas assez d’argent pour financer de nombreux projets, même en cas de générosité inattendue des internautes.

Il faudra enfin réussir à avoir une très forte visibilité dans les médias, une visibilité nécessaire pour que les fonds arrivent en quantités suffisantes.

Au final, si l’idée et le modèle économique sont intéressants, ils reposent sur un postulat fragile : la générosité des internautes. Dans ce domaine, rares sont ceux qui ont réussi, mais certains exemples sont des succès. Seul le temps permettra de dire si le concept relève réellement du modèle économique novateur.

mercredi 26 juin 2013

Apple va ouvrir l'iPhone aux développeurs

Les développeurs, professionnels ou amateurs, vont pouvoir personnaliser l'iPhone. Selon BusinessWeek, Steve Jobs profiterait de la Macworld Expo (San Francisco, 15-18 janvier 2008) pour officialiser la sortie d'un kit de développement.

Apple va ouvrir l'iPhone aux développeurs

Si l'Apple Expo de Paris avait tourné au flop, son pendant à San Francisco, la Macworld Expo, devrait en revanche valoir le déplacement. Après des rumeurs concernant l'arrivée de l'iPhone 2, BusinessWeek révèle que Steve Jobs profitera de l'événement pour dévoiler le "software-development kit" dédié à son téléphone-baladeur. En d'autres termes, n'importe qui pourra personnaliser son iPhone en développant ses propres applications.

Cette décision, attendue par beaucoup, mettra ainsi un terme à la bagarre avec les hackers qui s'évertuent à faire sauter le verrou du téléphone Apple pour l'utiliser comme bon leur semble.

mardi 25 juin 2013

Le Samsung Galaxy Note 3 doté d'une coque en métal

Selon le site SamMobile, face au succès du HTC One en aluminium, Samsung pourrait utiliser un matériau plus noble que le plastique pour réaliser la coque du futur Galaxy Note 3.

Le Samsung Galaxy Note 3 doté d'une coque en métal ?

Avec l’arrivée d’un iPhone 5 dont la coque est conçue dans un matériau sophistiqué et le succès du HTC One en aluminium, Samsung serait en train en train de se poser la question de remplacer les habituelles coques en plastique de ses appareils par quelque chose de plus noble pour son futur Galaxy Note 3.

Cette information qui est rapportée par SamMobile vient contredire ce qu’expliquait le coréen il y a un mois, lorsqu’il énumérait les vertus du plastique (durabilité, solidité, optimisation de la fabrication, esthétisme) dans la conception des coques de ses smartphones et tablettes. Il faut dire que les utilisateurs ont vivement critiqué l’emploi de plastique sur le Galaxy S4 alors qu’il s’agit d’un smartphone haut de gamme.

Et puis, avant sa sortie, un prototype en métal faisait l’unanimité en interne avant d’être recalé au profit du plastique pour des raisons de planning de production. (EP)

Pratique : comment rooter un Samsung Galaxy Note 2 

lundi 24 juin 2013

Applications mobiles, App Store, Android Market et les autres le point en image

Petit résumé des courses sur les applications mobiles, les boutiques de téléchargement et les parts de marchés occupées par les OS mobiles expliqué en image.

Applications mobiles, App Store, Android Market et les autres : le point en image

Les applications sont rapidement devenues un enjeu majeur pour les constructeurs et les plateformes mobiles. Si le grand public ne choisit pas encore massivement son mobile en fonction du système d’exploitation, les applications disponibles jouent un rôle majeur dans l’acte d’achat.

Il n’est pas anodin qu'un Samsung oriente ses publicités Bada/Samsung Wave autour des applis, reprenant ainsi à son compte la stratégie initiée par Apple avec l'App Store pour l'iPhone et l'iPad.

Pour y voir plus clair, le blog Onlineemba a compilé différentes informations autour du modèle économique des plateformes de téléchargement, le nombre d’applications disponibles, les parts de marchés occupées par les OS mobiles et d'autres éléments intéressants niveau usage.

On apprend par exemple qu’un utilisateur d’iPhone dépense en moyenne 80 $  pour nourrir son smartphone en application et que le prix moyen d’une application est de 3.10 $ et de 1.36 $ pour un jeu.

Autre indication, le coup payé par le développeur afin de pouvoir déposer son application est de 25 $ pour l’Android Market, 99 $ par an pour l’App Store et tout de même 99 $ par an plus 99 $ par application pour le Windows Market Place…

A noter également que 90% des développeurs  ne parviennent  pas à effectuer un retour sur investissement durable.

Pour en savoir plus, cliquez sur l’image récapitulative pour l’afficher en grand format.

 

 

vendredi 21 juin 2013

Android Ice Cream Sandwich aura droit à Flash

Avant d’abandonner définitivement sa technologie Flash sur mobiles, Adobe a décidé d’en faire profiter la dernière version d’Android Ice Cream Sandwich.

Android Ice Cream Sandwich aura droit à Flash

Interrogé par le site Pocket-lint, Adobe a annoncé que l’ultime version de Flash pour mobiles sortirait à la fin de l’année, et concernerait Android 4.0, aussi connu sous le nom de Ice Cream Sandwich.

Une annonce qui ravira en premier chef les possesseurs du dernier Galaxy Nexus, dépourvu de Flash. Mais Adobe l’a promis, ensuite, il se concentrera sur HTML 5. « Après ça, Adobe continuera uniquement à proposer des correctifs et des mises à jour de sécurité » a expliqué un porte-parole.

En d’autres termes, le navigateur d’Android 5.0, dont le nom de code est pour pour l’instant « Jelly Bean », devra compter uniquement sur le HTML 5 pour afficher vidéos et animations. (EP)

jeudi 20 juin 2013

MWC 09- Samsung Acme i8910 vidéo HD et sortie HDMI

Samsung devrait présenter au Mobile Word Congress le premier mobile capable d’enregistrer des vidéos HD en 720p et doté d’une prise HDMI.

MWC 09- Samsung Acme i8910 : vidéo HD et sortie HDMI

L’édition 2009 du Mobile World Congress s’annonce riche en événements. Après le Toshiba TG01, le premier mobile à accueillir le processeur Qualcomm Snapdragon cadencé à 1 GHz et Samsung qui prépare son mobile 12 mégapixels, le constructeur coréen refait parler de lui avec le i8910, un tactile capable de capturer des vidéos en haute définition !


La surenchère technologique continue donc avec ce Samsung i8910 Acme qui, grâce à son capteur autofocus de 8 mégapixels, serait capable d’enregistrer des vidéos en 720p et de les afficher directement sur un écran via une sortie HDMI intégrée.


Animé par l’OS Symbian S60 5éme édition (également présent sur le Nokia N97) ce smartphone disposerait du Wi-Fi, du GPS et d’une sortie audio jack 3.5mm.
Ce potentiel successeur du Player Addict serait décliné en 8 ou 16 Go de mémoire interne (peut être extensible via un slot microSD HC) et se montrerait compatible avec les DivX. 



mercredi 19 juin 2013

IFA 2012 Sony dévoile sa Xperia Tablet S à partir de 399 $

Mise à jour avec les photos - Capitalisant sur sa gamme Xperia, le constructeur japonais a dévoilé sa nouvelle tablette, la Xperia Tablet S s’appuyant sur un écran de 9.7 pouces et la solution très populaire de Nividia, le Tegra 3.

Alors que les deux précédentes tablettes Sony, la Tablet S1 et P1 furent officialisées lors de l’IFA  2011, le constructeur japonais a logiquement profité de l’édition 2012 du salon berlinois pour lever le voile sur sa Xperia Tablet S qui reprend les codes esthétique de la S1 avec une coque en alu d'une épaisseur de 8.89 mm à l'endroit le plus fin et 571 grammes sur la balance.

Une gamme Xperia constituée de Smartphones qui se voit donc étendue aux tablettes avec machine animée par la solution Nvidia Tegra 3 cadencée à 1.3 GHz épaulé par 1 Go de mémoire RAM et abritant une dalle IPS de 9.4 pouces avec une définition de 1280 x 800 pixels.

Cette Xperia Tablet S adopte un capteur de 8 mégapixels au dos (1 mega en façade) et profite du traditionnel Wi-Fi a/b/g/n, port micro USB, HDMI et un emplacement pour carte SD venant étendre les 16, 32 ou 64 Go disponibles en interne.

Une Xperia Tablet présentée comme "splashproof" résistant donc aux éclaboussures.
Tablette télécommande et contenu

A l'instar de de la Tablet S1, on retrouve un module infra-rouge comme élément distinctif afin de piloter sa TV, platine Blu Ray ou chaine Hi-Fi et une application dédiée gratifiée d'un guide des programmes et du service de streaming Sony Watch Now.



Les kiosques de la marque seront également présents avec Video Unlimited et Music Unlimited tout comme un espace dédié aux jeux PlayStation Mobile. Sony entend bien se distinguer de la concurrence par ses nombreux contenus disponibles...
Par ailleurs, Sony proposera un carte Play Store de 45 $ à utiliser sur un catalogue de 15 films, probablement des films "maison" via sa major Colombia.

Animé par Android Ice Cream Sandwich, le constructeur japonais évoque une mise à jour vers Jelly Bean sans préciser de date.

Large gamme d’accessoires


La Sony Xperia Tablet S profitera d’un écosystème d’accessoire comme cette une housse accueillant un clavier physique proche de la tablette de Microsoft, la Surface commercialisée 99 $ ou une station d'accueil orientable dotée de 3 ports USB et d'une sortie HDMI également commercialisé 99 $.

La Sony Xperia Tablet sera commercialisée à partir de 399 $ en version 16 Go ( 499 pour 32 Go et 599 pour 64 Go ) le 7 septembre prochain.


Toute l'actualité de l'IFA sur CNET France

mardi 18 juin 2013

Une faille de sécurité découverte dans la version Android de Skype (maj)

L’application Skype pour les smartphones Android est touchée par un problème de sécurité pouvant permettre à une application pirate de voler toutes les données personnelles de l’utilisateur. Un correctif est en cours de développement.

Une faille de sécurité découverte dans la version Android de Skype (maj)

Mise à jour 20/04/2011 : Skype propose une nouvelle version de son application Android pour combler la faille décrite ci-dessous. Elle est accessible via une recherche sur l'Android Market. L'application est compatible avec les smartphones Android 2.1 et supérieur à l'exception des téléphones Samsung galaxy S qui nécessitent Android 2.2. (fin maj)

Si la réputation de Skype est plutôt bonne côté sécurité, cela n’empêche pas de petits couacs de survenir de temps à autres. Comme celui annoncé en fin de semaine dernière par le site Android Police et depuis confirmé par Skype.

Il concerne donc la version Android du célèbre logiciel de VoIP, qui serait touchée par une faille de sécurité permettant à une autre application, programmée en ce sens et téléchargée depuis l’Android Market, de s’approprier toutes les données personnelles (nom, adresse, numéros de téléphone, etc.) de l’utilisateur. Une vidéo de démonstration de cette vulnérabilité a même été publiée.

Après quelques heures d’enquête, Skype a reconnu l’existence de cette faille et a annoncé travailler à un correctif. Celui-ci sera basé sur une élévation des permissions d’accès aux données personnelles de l’utilisateur. En attendant la mise à jour de l’application Skype pour Android, la plus élémentaire des mesures de prudence est de se méfier des nouvelles applications téléchargées depuis l’Android Market. (EP)

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dimanche 9 juin 2013

Tablettes la gestion multi-comptes désormais incontournable

Avec la gestion multi-comptes intégrée dans Android 4.2, la tablette devient plus familiale que jamais. La gestion multi-comptes devient donc un enjeu central pour les différents acteurs...

Après le multi-comptes sur les tablettes Kindle Fire, les comptes utilisateurs sur les Nook HD et HD +, Android 4.2 consacre la nouvelle tendance en la généralisant.

Cette gestion multi-comptes permet d'avoir plusieurs profils utilisateurs sur une tablette, comme c'est déjà  le cas sur un ordinateur, et donc une tablette personnalisée pour chaque membre du foyer. Les familles déjà équipées en tablettes savent à quel point la fonction va transformer les usages.

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Annoncé lors de l’évènement Amazon qui a concrétisé la nouvelle gamme Kindle, la possibilité de proposer plusieurs comptes utilisateurs concerne surtout les enfants, qui pourront avoir chacun un ensemble de réglages différenciés (fonction freetime), en plus du contrôle parental.

Mais rien n'interdit bien sûr de configurer des comptes pour les adultes aussi, ce qui en fait donc un système multi-utilisateurs.

Nook a aussitôt riposté avec ses tablettes HD et HD +, qui arriveront chez nous début 2013. Les tablettes intégreront en effet jusqu’à 6 profils utilisateurs différents, en plus là aussi du contrôle parental. Avec 6 profils utilisateurs, cela comble les besoins de beaucoup de familles.

 

Hier, lors de l’annonce de Google des Nexus 4, Nexus 7 et Nexus 10, on a aussi pu découvrir Android 4.2, qui apporte son nombre de nouveautés. L’une d'entre elles est la possibilité d’avoir plusieurs sessions utilisateurs différentes. Là encore, rien de révolutionnaire en soi, mais une petite révolution dans les usages, qui va cette fois-ci concerner toutes les tablettes qui seront compatibles Android 4.2. Le multi-compte semble donc voué à être de série sur toutes les tablettes à très court terme.

Au passage, voilà qui donne encore de l'intérêt à la Nexus 7. En plus de passer à 199 € pour 16 Go, elle permettra donc de configurer un compte pour chaque personne du foyer, et marque donc des points face à la concurrence.

Des fonctionnalités indispensables

Proposer un bureau, des signets, des raccourcis, une bibliothèque, vidéothèque ou encore une gestion des emails différents selon les utilisateurs n’est pas une option, mais un vrai plus à partir de deux utilisateurs, et une nécessité au-delà.

Il fallait qu’un premier acteur se lance pour que tout le monde suive. Le fait que ce soit l'OS Android qui le permette désormais transforme donc les futures tablettes Android en tablettes familiales par nature : un véritable tournant qui devrait participer à une adoption plus massive dans les foyers.

Apple, l'irréductible ?

Avec l'arrivée de nombreuses tablettes concurrentes, notamment sur le segment 7 pouces, les prix ont baissé, et l'offre s'est diversifiée. Les foyers vont massivement adopter les tablettes dans les mois et années qui viennent, et le multi-compte sera incontournable.

Dans ce domaine, Amazon est donc paré, ainsi que Google, mais ni la Kobo Arc ni l'iPad mini ne le proposent pour l'instant. Une "simple" mise à jour logicielle permettrait de proposer la fonctionnalité chez les deux acteurs, et Kobo n'a aucun intérêt à ne pas suivre rapidement le mouvement.

Apple peut-il dans ce contexte continuer à ne pas proposer la gestion multi-compte ? La marque vient de prouver avec l'iPad mini qu'elle ne pouvait pas toujours aller à contre-courant de la demande, et devait parfois changer d'avis (une tablette de moins de 10 pouces était exclue par Steve Jobs lui-même).

Le prix de l'iPad mini n'en fait pas réellement une tablette familiale, et sans le multi-compte, elle risque de devenir un gadget haut de gamme pour célibataires. C'est peut-être le positionnement d'Apple. Mais pour garder les familles, Apple va devoir revoir sa stratégie et permettre aux utilisateurs d'avoir chacun leur profil.

samedi 8 juin 2013

Nvidia pourquoi les ventes de tablettes Android sont décevantes

Le PDG de Nvidia, Jen-Hsun Huang, s’est fendu d’une critique acerbe sur la commercialisation des tablettes Android. D’après lui, le marketing, le prix et l'écosystème encore pauvre de ces ardoises sont les causes des ventes décevantes.

Nvidia : pourquoi les ventes de tablettes Android sont décevantes

250 000 Xoom ont été écoulées depuis son lancement alors que l'iPad 2 s'est vendu à hauteur d'un million d'exemplaires... en un week-end. Ces ventes décevantes de tablettes Android par rapport à l’iPad – on attend les chiffres de l’Acer Iconia Tab A500 et de l’Asus EeePad pour avoir une réelle idée du volume écoulé  – ne laissent pas de marbre le dirigeant de Nvidia, Jen-Hsun Huang.

Et pour cause, sa plateforme Nvidia Tegra 2 est au cœur de la gamme d’ardoises Honeycomb. Selon Huang qui s’est confié à nos confrères de CNET.com, plusieurs problèmes expliquent les méventes de ces terminaux.

Un problème de prix et de marketing

Premièrement pour le PDG de Nvidia ces tablettes sont mal vendues : "La configuration de base inclut la 3G alors qu’elle ne le devrait pas. Les tablettes devraient avoir une version [seulement] Wi-Fi et être plus abordables. Celles-ci se vendent plus rapidement que les [versions] 3G et avec toutes les options."

Sans jamais mentionner l’iPad et son prix, il semble néanmoins clair que Huang voudrait pouvoir trouver plus de tablettes Honeycomb sous le seuil de 499 dollars. Mais alors qu'il se concentre sur le module 3G, il oublie que le stockage est un élément important dans le coût d'un produit et donc dans sa tarification. Supprimer le support de la 3G est une solution pour faire baisser le prix d'un terminal, mais réduire sa capacité de stockage en est une autre qui permet de faire encore plus baisser la facture.

Une boutique d'applications vide

Deuxième point d’achoppement : la pauvreté de l’écosystème Android 3.0 à l’heure actuelle. Face aux 65 000 applications iPad, l’Android Market pour tablettes Honeycomb fait bien pâle figure.

Mais le dirigeant de la firme d’électronique, dont on remarquera au passage qu’il se garde bien de critiquer la partie matérielle à laquelle son entreprise participe de façon importante, reste optimiste. "Mais ces problèmes sont en train d'être réglés. La vitesse à laquelle les tablettes Honeycomb Tegra 2 s'améliorent est vraiment impressionnante."

L’Asus EeePad Transformer ne saurait faire mentir Huang puisque c’est la première tablette Honeycomb sous Tegra 2 à être significativement sous les 500 euros – elle est proposée à 399 euros en version 16 Go –. Quant aux applications pour Android 3.0, Google travaille activement à rendre sa plateforme plus agréable pour les développeurs, en tentant notamment de réduire la fragmentation.

vendredi 7 juin 2013

Forfait iPad 3G Orange et SFR dévoilent leur offres

L'opérateur historique est le premier à dévoiler sa grille de forfaits pour la tablette Apple. Orange propose deux abonnements avec pour point commun : un plafond plutôt dissuasif. Même contrainte chez SFR avec 4 forfaits iPad, une offre plus large mais aussi plus complexe.

Forfait iPad 3G : Orange et SFR dévoilent leur offres

L'iPad disponible en précommande, ne restait qu'à connaître les forfaits proposés par les opérateurs qui à défaut de vendre la tablette d'Apple, proposeront des forfaits liés à la  version 3G. Ainsi, Orange propose deux forfaits dans sa grille d'abonnements. Il s'agit d'offres sans engagement. Le premier de ces forfaits permet de consommer jusqu'à 200 Mo de données par mois pour 10 euros. Pour 2 Go de données, il faudra opter pour le forfait à 39 euros par mois. Pour ceux qui dépasseraient ces seuils, Orange prévoit une gamme de recharges, disponibles par simple coup de fil à l'opérateur. Cette recharge est vendue 10 euros les 300 Mo de données supplémentaires. Seule contrainte : elle est limitée dans le temps à 31 jours.

Pour sa part, SFR propose quatre forfaits iPad. Les deux premiers sont destinés à ceux qui souhaitent découvrir l'Internet mobile sur l'iPad, avec un première offre  à 6 euros la journée pour 75 Mo de données échangées. Le second est à 9,90 euros, mais pour trois jours avec une limite quotidienne de 75 Mo. Par ailleurs, comme Orange, SFR propose deux forfaits plus "classiques" avec une offre de 14,90 euros pour 250 Mo de données, puis un forfait dit "illimité" de 29,90 euros. Derrière, le terme illimité, il faut entendre une offre dont le débit sera bridé à partir de 1 Go de données échangées.

Pour l'instant, Bouygues Telecom n'a pas dévoilé ses forfait iPad. (EP)

Tout savoir sur l’iPad : prix en France, disponibilité, test, vos questions, nos réponses

jeudi 6 juin 2013

GPS sur Iphone 3G toujours pas de logiciel de navigation

Surprise sur App store, la logithèque en ligne dédiée à l’Iphone, aucune application de navigation n’y figure.

GPS sur Iphone 3G : toujours pas de logiciel de navigation

La question de la navigation sur l’Iphone 3G reste entière. Quelle sera l’application qui permettra d’utiliser l’Iphone 3G pour un guidage en voiture, et avant tout, en existera-t-il une ?
Nous avions récemment disserté sur cette question en espérant avoir une réponse lors de la sortie de l’Iphone 3G. Déception en découvrant l’App Store, aucune application de guidage en temps réel, rue après rue, n’y figure. On y trouve de nombreuses applications dites de navigation utilisant le GPS (essentiellement de la navigation sur réseau ferré et de la recherche de points d’intérêt à proximité : restaurants, hôtels), mais pas de TomTom ni de Navigon.

Aux Etats-Unis, une rumeur persistante annonce l’arrivée prochaine de TeleNav, un logiciel de navigation de type Off Board utilisé par AT&T, le seul opérateur à vendre l’Iphone 3G outre Atlantique.

Mais un nouveau paramètre est maintenant à prendre en considération, la qualité médiocre de la réception GPS de l’Iphone ne permettrait pas une utilisation sous un pare-brise de voiture. Un détail qui pourrait bien clore la question, l’Iphone serait interdit de voiture, faute d’un GPS suffisamment fiable.
L’appareil dépourvu de fonction vidéo n’en serait pas à son premier paradoxe.

 

mercredi 5 juin 2013

Le deal entre Nokia et Microsoft entériné

Le partenariat entre Microsoft et Nokia a été conclu aujourd'hui, soit plus tôt que prévu. La firme de Redmond se déleste de plusieurs milliards de dollars pour accéder aux brevets et aux technologie de Nokia, tandis que le constructeur finlandais versera des royalties pour chaque Windows Phone vendu.

Le deal entre Nokia et Microsoft entériné

Nokia et Microsoft signent aujourd’hui un épilogue et une introduction. Epilogue aux tractations entre les deux firmes qui durent depuis février et introduction à un profond remaniement dans les smartphones Nokia. Le partenariat a été conclu aujourd’hui même, en avance sur le calendrier initial. Signe d’une situation urgente ou d’un accord aisé entre les deux sociétés ? Libre à chacun d’interpréter cette avance comme il l’entend.

"Win-win"

"Au plus haut niveau, nous sommes entrés dans un partenariat gagnant-gagnant (win-win) (sic)" se congratule Stephen Elop, PDG de Nokia. Pour Steve Ballmer, son homogue chez Microsoft, "[Cet] accord est bon pour l’indutrie". La signature définitive du deal dévoile les dessous de l’accord et répond aux questions en suspend.

Microsoft percevra pour chaque smartphone Nokia Windows Phone des royalties. Le "running royalty" permettra d’ajuster le montant des royalties en fonction du nombre de ventes, un système qui pourrait être plus avantageux pour Nokia que les sommes fixes demandées par Microsoft aux autres constructeurs utilisant son OS mobile.

La firme finlandaise recevra de l’américain "en reconnaissance de la nature unique de l’accord […] des milliards de US dollars". Le montant exact n’a donc pas été communiqué.

Concernant la propriété intellectuelle, chaque acteur pourra piocher dans le portefeuille de son partenaire. Nokia recevra en contrepartie de ces transferts de brevets des espèces sonnantes et trébuchantes.

Echanges de bons procédés

Outre le côté pécuniaire, le partenariat entre Nokia et Microsoft se traduira pour l’utilisateur par l’arrivée de technologies signées Nokia dans Windows Phone 7. Ainsi les services de géolocalisation, de photos, le support de différentes langues et le savoir faire hardware du constructeur finlandais viendront se fondre dans l’environnement de la firme de Redmond. Dans l’autre sens, Microsoft intégrera Bing et ses produits dédiés à la productivité, à la publicité et au jeu.

Enfin, aucune mention de l’Ovi Store. Les développeurs Nokia sont invités à s’inscrire au programme Windows phone developper où ils bénéficieront de la première année gratuite. Un nouveau magasin d’applications, qui s’appuiera sur le Windows Marketplace, ouvrira sous la marque Nokia. La boutique sera accessible sous Windows Phone, Symbian et Series 40.

Il ne reste plus qu’à attendre les Nokia W7 et W8, vraisemblablement les premiers smartphones finlandais sous Windows Phone.

mardi 4 juin 2013

DVD portable Toshiba rappelle encore 142 000 adaptateurs

Les mois se suivent et se ressemblent pour Toshiba, contraint de faire revenir dans ses usines 142 000 adaptateurs. C'est encore le modèle SD-P1600 qui est en cause.

DVD portable : Toshiba rappelle encore 142 000 adaptateurs

Il y a trois semaines, Toshiba demandaient aux 348 000 clients qui avaient acheté ses lecteurs DVD portables SD-P1600 et SD-P1610,respectivement produits entre février 2005 et janvier 2006, de ramener l'adaptateur jugé défectueux.

Aujourd'hui, le constructeur nippon annonce un nouveau rappel massif. Cela concerne toujours un problème d'alimentation. Et c'est encore le modèle SD-P1600 qui est en cause puisque deux clients ont fait part à Toshiba de problème de surchauffe au niveau de l'entrée de l'adaptateur secteur. Deux clients, c'est peu. Mais ce sont deux de trop pour le constructeur qui a donc décidé de rappeler les 142 000 appareils vendus entre janvier 2005 et avril 2006.

lundi 3 juin 2013

Parrot AR Drone 2, le test en vidéo

Le nouvel AR Drone 2 sera disponible courant mai, côté prix, comptez 299 euros pour vous offrir ce gadget de luxe qui nous a fait forte impression. Autonomie, caméra HD, nouvelles possibilités, voici notre test vidéo de l’AR Drone 2.


Après le vif succès rencontré en 2010 par l’AR Drone ( voir le test vidéo ), le constructeur français Parrot renouvèle son concept de quadricoptére intelligent. Parrot a manifestement entendu les critiques pour nous proposer un AR Drone bien plus abouti, notamment au niveau de la capture vidéo tout en améliorant au passage les possibilités et la stabilité de son quadricoptére. 
Dans notre vidéo test de l’AR Drone 2, nous avons mis à l’épreuve cette stabilité dans des conditions assez dantesques, pluies et fortes rafales de vent. Une bonne occasion pour nous de constater le travail effectué par Parrot sur sa machine volante qui s’est plutôt bien comportée…
Quadricoptére intelligent
Le concept reste inchangé, un quadricoptére doté de nombreux capteurs, accéléromètre, magnétomètre, capteur à ultrason et de pression le tout épaulé par un processeur ARM Cortex A8 cadencé à 1 GHz pour simplifier au maximum le pilotage de cet hélicoptère que l’on peut mettre entre toutes les mains.
Un hélicoptère qui se passe des traditionnelles radios 6 voies pour un terminal tactile, smartphones ou tablettes animées par iOS ou Android, rendant la prise en main ludique et intuitive tout en ouvrant de nouvelles possibilités…
Drone HD
La principale amélioration concerne la vidéo, l’AR Drone premier du nom était plutôt décevant sur ce point avec une définition des capteurs trop faible.  D’une résolution VGA (640 x 480 pixels) à 15 images par seconde, la caméra frontale passe à du HD 720p (1280 x 720 pixels) tout en capturant 30 images seconde.
Les vidéos sont un peu plus nettes et fluides et offre un large champ de vision avec une lentille grand-angle de 93°.Une amélioration de la restitution d’autant plus appréciable qu’il est désormais possible d’enregistrer photos et vidéos sur l’application FreeFlight ( à télécharger sur l'App Store ou le Play Store ) ou via une clé USB, l’AR Drone 2 disposant d’une prise USB. 
Les vidéos en .MOV ou les photos peuvent être partagées via YouTube ou Picasa directement depuis l’application.Peu de changement en revanche concernant la caméra verticale située sous l’appareil. Pour le moins anecdotique, cette dernière filme le sol avec une résolution de 320 x 240 pixels (contre 176 x 144 pixels sur la première version ). De quoi offrir une belle bouillie de pixels sur un nouvel iPad …
Plus souple, plus simple, plus fun
Pour améliorer la stabilité déjà impressionnante de l’AR Drone premier du nom, Parrot a gratifié sa machine volante d’un nouveau capteur de pression jouant sur l’altitude. En pratique, l’AR Drone 2 nous semble encore plus stable et réactif aux ordres envoyés.Pour simplifier plus encore la prise en main, on trouve désormais un mode dit Absolu pour les débutants, les commandes ne seront plus inversées lorsque vous aurez l’AR Drone en face de vous.
Avec cet AR Drone 2.0, Parrot met le vol 3D à la portée de tous. D’un simple geste il est possible d’effectuer un flip ou tonneau et ce, même en pleine bourrasque. Là encore une petite prouesse rendue possible grâce aux nombreux capteurs embarqués qui réagissent de concert en fonction de la situation.
On note également de quelques changements dans l’appli FreeFlight, bien plus riche avec la possibilité de modifier l’emplacement des sticks de contrôle, de se passer de l’accéléromètre ou de gérer les paramètres de vol de quoi rendre ce Drone plus souple ou contraire un peu plus nerveux. 
Quelques limites
La nouvelle version de ce must have nous a emballé, plus souple, exploitable, l’AR Drone 2 est jubilatoire à piloter et corrige la plupart des lacunes de son aïeul.En extérieur, L’AR Drone se joue de la pluie et supporte très bien le vent. Si son terrain de prédilection reste un grand parking, il est suffisamment maniable pour devenir, au bureau, une star de l’open space. 
Reste cependant quelques points encore perfectibles. L’autonomie n’a pas évolué, il faut toujours compter 1h 30 pour recharger la batterie d’origine qui peine à offrir les 10 minutes de vol. Après vous être délesté de 299 euros, il vous faudra donc repasser à la caisse pour acquérir une seconde batterie d’une vingtaine d’euros.
Si son prix risque de refroidir plus d’un geek, il ne nous semble pas abusif au vu de la techno embarquée et des possibilités, notamment vidéo et de vol 3D, que propose cet AR Drone 2, la concurrence est souvent bien plus cher ou moins bien équipée.
À côté de l’autonomie, l’autre point noir concerne la solidité de la coque de « protection » en polystyrène assez fragile. Dommage, car le Drone en lui-même avec son plastique injecté et ses hélices plus souples se montre assez rassurant. Tout comme les différents capteurs qui permettent d’éviter les casses.

samedi 1 juin 2013

L’iPhone est l’invention de l’année pour le Time

Le téléphone baladeur d’Apple se voit décerner ce titre prestigieux par la rédaction du magazine américain pour cinq raisons « évidentes ».

L’iPhone est l’invention de l’année pour le Time

Le magazine américain Time vient de décerner à l’iPhone le titre de l’invention de l’année. Tout en reconnaissant que certains défauts, comme l’impossibilité de l’utiliser avec son e-mail professionnel ou son « blocage » auprès d’un opérateur, Time invoque cinq raisons qui font que ce choix est apparu comme une évidence.

- C’est un très bel objet.

- Son côté entièrement tactile est un régal

- Il oblige la concurrence à produire de meilleurs téléphones.

- C’est une véritable plate-forme à lui tout seul

- Et ce n’est qu’une première version, limite un brouillon

En effet, aucun de ces arguments ne peut être réfuté. Et sans nul doute, Time n’est que le premier d’une longue série à décerner un tel prix à l’iPhone.

A consulter aussi sur CNET France :

Page spéciale iPhone

Lire le test de l'iPhone

Visionner la vidéo de l'iPhone